Delta Reflex

Il suffit de voir la communication faite par l'AA au sujet la BAP Chammal en Jordanie, tandis que de leur côté nos "amis" journalistes n'hésitent pas à donner la localisation exacte de la dite base... Après je le reconnais, c'est un secret de polichinelle mais bon, c'est pour le principe quoi.

Mais quoiqu'il en soit, je vous laisse extrapoler grâce à votre imagination à quoi peut ressembler notre cher B 514

Alors on va faire les enfants sages, patients et disciplinés en attendant qu'une image ou plusieurs nous arrivent.
C'est bien connu, la patience paye toujours. mais bon comme le disait Vroux avec humour, "c'est pas humain" de nous faire saliver autant !!

D'ailleurs à propos des transactions de F1 avec l'étranger. Sait on si les 4 F1B ont quitté déjà l'hexagone depuis leur arrivée à Nîmes.???

Maintenant ils commencent à flouter les noms et les visages, c'est un début !!!!

Je me suis rendu compte que ce 514, cela faisait un sacré moment que je ne l'avais pas vu.


On est capable de retracer son itinéraire en photos (autorisées) avant qu'il ne sorte du service actif ?

emax a écrit :D'ailleurs à propos des transactions de F1 avec l'étranger. Sait on si les 4 F1B ont quitté déjà l'hexagone depuis leur arrivée à Nîmes.???

Pour répondre à t'a question emax, les F1 passent en RG avant envoi en Afrique du sud.

Les 64 F1 doivent quitter le site de Châteaudun avant la fin de l'année par la route, ils seront tous transportés de la même manière.
il y a plusieurs site de prévu pour faire les RG des avions et on m'a donner comme endroit la Belgique, les USA direct, Nîmes, Bordeaux et voir d'autres sites.
Dés que je le pourrais, je donnerai d'autres informations.

Les 63 - et non 64 ! - Mirage F1 achetés par la société ATAC sont classés en deux catégories :

- 32 appareils dits RDS1 ou Retrait de service échelon 1 : ce sont les avions stockés dans des conditions spécifiques de température et d'hygrométrie qui permettent à l'issue de leur déstockage - et moyennant des interventions techniques plus ou moins longues et complexes - une remise en vol opérationnelle.

- 31 appareils dits RDS2 : ces avions ne sont pas soumis à des conditions de stockage particulières et ne sont pas destinés à revoler. Par contre, les divers équipements constituant leurs circuits hydrauliques, atterrisseurs, carburant, conditionnement, oxygène ou électrique peuvent être réinstallés sur une machine opérationnelle.
Ce sont eux qui constitueront le stock de rechanges pour les 32 avions précédents.

L’achat et les procédures de revente et d’exportation se feront à travers la SOFEMA, qui sera aussi en charge de l’ensemble de la logistique du projet (plus de 6 millions de pièces, soit près de 10 000 m3, distribuées sur 8 sites) et de gestion de l’inventaire.

La visite initiale des 32 premiers appareils se fera chez SABCA (Société Anonyme Belge de Constructions Aéronautiques), filiale de Dassault Aviation, sur le site de Charleroi, avant leur départ pour les États-Unis.